L’Escalier de service Paul Leni & Leopold Jessner / 1921
Un facteur intercepte le courrier de la servante dont il est épris, alors qu’elle attend désespérément des nouvelles de son amant…
Et un blog ciné de plus, un !
Un facteur intercepte le courrier de la servante dont il est épris, alors qu’elle attend désespérément des nouvelles de son amant…
Projectionniste dans un modeste cinéma, un homme rêve de devenir grand détective…
Alice Guy a-t-elle été invisibilisée ? De quand datent les premiers écrits à son sujet ? Et comment les historiens et historiennes définissent les particularités de son style ? En complément et en clôture de ces trois articles, voici un état des lieux complet de la recherche et de la littérature existante sur la cinéaste.
La période française d’Alice Guy ne représente que la moitié de son œuvre : arrivée en Amérique, celle que l’on nomme désormais Mme. Blaché fonde un studio, la Solax, dont vont sortir plusieurs centaines de films en tous genres (westerns, comédies, mélodrames), rencontrant sur place un réel succès.
Si vous avez vu un film d’Alice Guy, il date probablement de ce court moment : de ces deux années intenses où la production Gaumont prend de l’ampleur, et où la cinéaste a enfin les moyens de ses ambitions – avant qu’un départ imprévu pour l’Amérique ne les arrête net.
Avant d’être une icône féministe, Alice Guy fut surtout à la tête du département fiction de la société Gaumont, durant toute la première décennie du cinéma. Tentative de rétrospective des films attribuables à la cinéaste, en débutant par ses années de recherche…